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Le triangle des Bermudes

 
 

Le triangle des Bermudes.

Le triangle des Bermudes, zone hantée ou simplement un hasard d’enchaînement de faits, le triangle a fait l’objet de beaucoup d’interrogation même si de nos jours cet engouement a diminué. Il existe une liste longue comme le bras, de navires et d’avions qui aurait disparu dans cette zone, cependant toutes les disparitions ne sont pas réellement arrivé dans la zone du triangle.

Pour commencer, la zone du triangle est une zone géographique de l’océan Atlantique située entre l’archipel des Bermudes, Miami et de San Juan à Porto Rico. D’après les rumeurs que tout le monde connaît, l’endroit est la cause d’une multitude de disparitions aussi bien de navires que d’avions depuis de nombreuses années.

Avant de commencer cet article je voulais vous présenter tous les navires et avions disparut, mais j’ai été dans l’obligation de changer mes plans, en effet, devant la multitude de navires disparu en dehors du triangle sauf que plusieurs versions les montrent comme disparu dans le triangle, les navires introuvables, j’ai passé environ deux mois rien qu’à trier les disparitions et à devoir changer ma façon de présenter cet article.

Je vais donc vous présenter uniquement que certains navires ou avion, donc les informations sont suffisamment fiables et quelqu’un donc les informations sont peu fiables ou inexistante. Je dois cependant vous avertir que malgré mes très nombreuses recherches, il est possible que certaines informations soient fausses ou manquantes.

En premier, nous allons nous intéresser à Thomas Lynch junior né le 5 août 1749 aux États-Unis, fils de Thomas Lynch senior, un planteur de riz prospère et influent qui faisait partie du congrès continental. Lynch junior est élu par mesure de sécurité au congrès, à la place de son père du fait d’un accident vasculaire cérébral, qui faillit lui coûter la vie à ce dernier. Lynch junior pris donc le relais de son père et fit partie des signataires de la déclaration d’indépendance.

Cependant, Lynch junior, aurait contracté le paludisme lors de son service militaire, cette maladie place le jeune Lynch junior dans un grand état d’affaiblissement de façon permanente.

C’est pour cela que les médecins lui avaient conseillé de partir dans un centre en France afin de se refaire une santé, sauf qu’il n’était pas possible de partir des États-Unis vers la France, Lynch et sa femme se rendirent donc à Saint-Eustache aux Antilles afin de trouver un navire qui pourrait les transporter en France. C’est durant ce voyage que le bateau à priori nommé Brigantin Polly, aurait été vue quelques jours après son départ, mais il disparut par la suite en mer et ne fut jamais retrouvé. Les membres d’équipage et passagers ont donc étaient considérés comme noyés, mais il n’est pas possible de déterminer l ‘endroit exact de leur disparition.

 

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Domaine public, Lien

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Par Anonyme — Old grave, Domaine public, Lien

L’USS Cyclops, un des quatre navires de type Proteus, mis en service en novembre 1910, conçu pour ravitailler d’autres navires en charbons à travers les océans. En mai 1917, lorsque les États-Unis entrent dans la Première Guerre mondiale, le navire est affecté au soutien d’un convoi vers Saint-Nazaire, il rentre au Etats-Unis deux mois après avoir accompli sa mission. En janvier 1918, il est chargé du ravitaillement de navires britanniques. Le navire repart de Rio de Janeiro le 16 février 1918 avec une cargaison de manganèses. Le 20 février de la même année, il entre à Bahia, deux jours plus tard, il met le cap sur Baltimore. Le voyage aurait techniquement pu se faire sans escales, mais le navire s’arrête à Barbados (petite île dans l’Atlantique à l’est des Caraïbes), le 3 et 4 mars et charge des marchandises. Le navire reprend le large en direction de Baltimore, il ne réapparaîtra jamais. Le point commun avec d’autres disparitions est le fait qu’aucun message de détresse n’a été envoyé, pourtant le navire bien que cette époque fut le début en matière de télécommunication été suffisamment équipé pour permettre d’envoyer un message de détresse.

Concernant les diverses théories liées à sa disparition, se trouvent en premier les faits paranormaux du triangle, on peut cependant conserver à l’esprit que le navire avait 8 ans, les navires n’étaient pas aussi fiables que maintenant, après quelques recherches, il ne m’a pas été possible d’avoir des informations concernant l’entretien de ce dernier. D’autres théories, visent le capitaine du navire nommé Worley, un type mal aimé de son équipage du fait de sa violence et de son esprit pro germanique. Il a été suspecté du fait de son changement de nom qui à l’origine été allemand, mais il a immigré pour les États-Unis en 1878. Ce statut, additionné d’éléments remontés lors de l’enquête sur la disparition du navire, ont donné des accusations de trahison, il est, en effet, émis qu’il aurait livré le navire aux Allemands. Cela aurait pu se tenir et ceux, malgré le manque de preuves et l’absence d’éléments qui ne permit pas de continuer dans cette direction, lors des fouilles dans les archives allemandes.

illustration de USS Cyclops (AC-4)
Par Photograph was taken by the New York Navy Yard. — United States Naval History and Heritage Command photograph, Photo #: NH 55549Cette image a été publiée par l'United States Navy sous l’identifiant NH 55549.Ce bandeau n’indique rien sur le statut de l’œuvre au regard du droit d'auteur. Un bandeau de droit d’auteur est requis. Domaine public, Lien

Il fut ensuite accusé aussi d’avoir surchargé le navire, en effet d’après le regroupement d’information que j’ai pu réaliser, il apparaît que le navire à son départ initial atteignait sa charge maximale, l’arrêt sur l’île de Barbados afin de procéder à un chargement de marchandises supplémentaire aurait potentiellement surchargé ce dernier.

Les Allemands ont par la suite aussi été accusés, une théorie aurait dit qu’un sous-marin allemand aurait coulé le navire, mais après enquête, rien n’a permis de prouver cette théorie réfutée par les Allemands eux-mêmes.

En 1968, soit 50 ans après la disparition du navire, Dean hawes plonge à 70 km au nord-est du Cap Charles, celui-ci marche sur une épave, donc l’infrastructure ne ressemblait pas à ce qu’il connaissait. Lorsqu’il revint à la surface avec l’intention de replonger, les conditions météorologiques le forcèrent à retourner au port. Quelques années plus tard, il vit une photo de l’USS Cyclops, ce qui le conforta de façon certaine que l’épave vue un an auparavant été bien le bon navire. Il réussit à convaincre la marine américaine de faire des recherches dans la zone qu’il avait précédemment fouillée, malheureusement la marine trouva de nombreuses épaves, mais aucune ne put être identifié comme l’USS Cyclops.

Le star Tiger, un avion ressent et plutôt assez fiable avec 500 heures de vol sans incident.

Le 30 janvier 1948, l’opérateur radio du Tiger demande au poste de contrôle de l’aérodrome de Kindley aux Bermudes, un cap pour rejoindre les Bermudes. L’opérateur de l’aérodrome, lui donne le cap et détecte l’avion à environ 630 km au sud sud-est des Bermudes.

Le Tiger, décolla 12 heures plus tôt de l’île de Santa Maria dans les Açores, ce dernier partie avec le plein de carburant lui causant une légère surcharge nécessaire pour la réalisation de la totalité du trajet soit 3 400 km. Malheureusement après la demande faite par le pilote du cap, le Tiger ne donna plus aucune nouvelle.

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By RuthAS - Own work, CC BY 3.0, Link

Une enquête sera ouverte, mais le peu d’éléments à leurs dispositions, fait qu’elle ne put aboutir de façon précise. En revanche, il est possible de supprimer certains faits qui n’auraient pas pu être la cause de la disparition en mer de cet appareil. En effet, déjà le manque de carburant n’est pas possible, car le plein avait été fait dans le but de faire tous le trajet sans encombre, un endommagement dû à la surcharge de carburant n’est pas possible non plus, l’avion été en surcharge pour le vol mais cela il est fabriqué pour supporter cet charge potentielle qui dépend aussi du matériel contenue dans le cokpit, donc aucune incidence n’est possible sur l’avion, sachant qu’il était à la fin de son voyage, par conséquent les réservoirs ne représentait plus une surchage. Une panne moteur est possible, mais l’avion possédé 3 moteurs et deux moteurs étaient suffisants à le faire fonctionner, et même si deux moteurs sur les trois seraient tombés en panne, aucun message radio de détresse n’a été reçu et la panne des deux moteurs plus de la radio est peu probable. On peut en conclure que peu importe ce qui est arrivé à l’avion, il est évident que cela s’est produit rapidement au point ou aucun message de détresse n’a pu être envoyé. Les conclusions de l’enquête n’émettront que des hypothèses à savoir que la disparition était à l’origine d’un potentiel problème technique ou erreur humaine ou bien les deux. Il sera précisé que malgré tous la disparition reste mystérieuse.

Le 17 janvier 1949, un avion nommé le Star Ariel a disparut dans la même zone, avec à son bord 20 personnes, deux points communs avec le Tiger, le modèle d’avion est le même, il s’agit d’un Tudor IV qui je le répète étaient des modèles fiables et robuste ainsi que la zone de disparition. Sont voyages s’est déroulé sans encombre, en effet, il arrive le 17 janvier 1949 sur l’aérodrome de Kindley aux Bermudes, il revient de la Jamaïque. Un autre avion nommé Star Panther, est dérouté sur l’aérodrome de kindley, à cause d’une panne de moteur. La réparation étant impossible, le Star Ariel est désigné pour le remplacer après avoir refait le plein, 13 passagers prennent place dans ce dernier et l’avion décolle pour la Jamaïque.

Par la suite, le pilote annonce à la radio, que tous se passent bien et sa localisation, dans un second message annonce une position et un changement de fréquence. C’est à partir de là que personne n’aura de nouvelle et l’avion n’arrivera pas à destination. Les opérations de recherches sont lancées, mais comme dans le cas du Tiger, il y a un manque d’éléments. Cependant, un phénomène étrange apparaît, en effet les conditions météo été parfaite, mais la journée fût frappée par des dysfonctionnements des radios de certains appareils, dans certaines zones, cela va du brouillage à la panne complète des transmissions, cette panne ne fût jamais expliquée.

Cependant l’enquête à déterminer que l’équipage n’a jamais émis de message via la nouvelle fréquence, il est possible que ce soit du fait de la mystérieuse panne, il faut savoir que la procédure implique normalement de s’annoncer sur la nouvelle fréquence lors d’un changement, dans le cas où le problème technique aurait affecté cette fréquence, il aurait pu et il aurait dû revenir sur l’ancienne fréquence afin de signaler son impossibilité de transmettre sur la nouvelle fréquence, il est cependant probable que la panne soit totale. Les enquêteurs ont cependant poussé leurs investigations en interrogeant les villes donc les deux fréquences radios sont actives afin de vérifier qu’aucun message n’a été réceptionné. En tous les cas ce qui est indéniable, c’est qu’encore une fois les causes de la disparition ont été brutales pour que l’équipage ne puisse pas transmettre de message d’alerte peu importe la fréquence.

Le mystère du vol 19, le 5 décembre 1945 le pilote instructeur Charles Caroll Taylor âgé de 28 ans, dirige un groupe de pilotes avec une expérience de vol moins élevée, pour un entraînement d’environ 2 heures près des îles Hens et Chickens à l’est de la côte américaine, avec cinq appareils de type Grumman Avenger. Les appareils vérifiés avant le départ avec le plein de carburant et l’ensemble des instruments de bord étaient fonctionnelle, les conditions de vol été parfaite avec une météo bonne et une mer peu agitées.

Chaque pilote et membres d’équipages connaissent le plan de vol et l’exercice comporte en plus un largage de bombes ce qui peut signifier que les pilotes n’étaient pas inexpérimentés que ça. D’après les échanges radio le largage des bombes se passe parfaitement bien, c’est à la suite du plan de vol que cela se complique. Une voix non identifiée potentiellement un des pilotes des 5 avions, demande à un autre élève pilote ce que son compas indique.

« Je ne sais pas où nous sommes, on a dû se perdre après le premier virage. »

La totalité des appareils étant sur la même fréquence, un avion au sol qui se trouve sur la base intercepte ce message et prévient la base de Lauderdale qu’un avion serait potentiellement perdu. Il entre en communication avec l’appareil perdu en transmettant le message suivant :

«  Ici, FT-74, pour l’avion ou le bateau qui s’appelle Power, identifiez-vous pour qu’on puisse vous aider ! »

La réponse tarde, mais le pilote instructeur Taylor dans l’appareil FT-28, reprend la communication et répond :

« Mes deux compas [boussoles présente sur le poste de pilotage] sont en panne. Je cherche à rejoindre Fort Lauderdale, en Floride. Je suis au-dessus de la terre, je pense être au-dessus des Keys, mais je ne sais pas où exactement et je ne sais pas comment rejoindre Fort Lauderdale. »

Par la suite, un instructeur au sol, se fie au radar et au plan de vol, il pense que l’avion se trouve bien au-dessus de Keys, il donna donc des instructions afin que le pilote de l’avion et sa formation perdu puisse rejoindre le bon cap, mais il est trop tard en réalité l’avion est localisé au-dessus des Bahamas. À 16 h 45, le pilote instructeur Taylor dans son FT-28, annonce :

« Nous mettons le cap à 030° pour 45 minutes, ensuite nous volerons plein nord. On sera sûr de ne pas être dans le golfe du Mexique. »

Mais cette décision ne permettra pas aux avions de retrouver leur chemin, en effet bien que ce soit un pilote chevronné et étant en plus instructeur Taylor reste cependant pour une raison inconnue dans l’idée qu’il est sur le bon chemin de retour, mais en réalité, il se dirige vers la pleine mer.

Pendant ce temps-là au sol, le personnel de la base est persuadé à juste titre que les avions sont perdus. La procédure dans ce cas-là, demande à ce que le leader de la formation bascule sur une fréquence d’urgence qui est moins chargée en communication et qui permet donc de pouvoir échanger sans être dérangé, cependant Taylor refusera en justifiant qu’il ne veut pas perdre la communication avec les autres appareils, ce que l’on peut concevoir, car il est resté responsable des pilotes et équipages en formation. Taylor annoncera à 17 h 00 un changement de cap, puis un second changement de cap vers l’Ouest, il est clair que les membres des 5 avions ne sont pas entièrement d’accord, en tous les cas le cap final sera vers l’Ouest. À 18 h 20, Taylor se rend enfin compte qu’il va être difficile de rejoindre la base et de surcroît les conditions météo se détériore et les communications deviennent difficiles, un message sera envoyé par la radio :

« Restez en formation serrée… Nous devons nous attendre à amerrir… Dès que l’un d’entre vous aura moins de 40 litres de fuel dans ses réservoirs, on descendra tous ensemble. »

Les stations de radio arrivent à localiser les 5 avions au nord des Bahamas, malheureusement les mauvaises conditions météo, n’ont pas permis de transmettre ces informations aux pilotes. Le seul message à 19 h 04 qui a été entendu sur la fréquence est un vague « FT-FT », il s’agit de l’indicatif d’un des avions et ce sera la dernière transmission de la formation. Il faut savoir que les 5 avions peuvent voler jusqu’à 20 h 00, car après, il est peu probable que le carburant soit suffisant. Par la suite, il est fort probable qu’ils se soient abîmés en mer à l’est des côtes de la Floride.

Des recherches seront entamées, mais sans succès, une enquête sera diligentée et ses conclusions seront aussi vagues que les précédentes disparitions. En effet, les enquêteurs statuent sur la solution la plus simple de mettre la responsabilité en cause du lieutenant Taylor, mais il en sort qu’il était un pilote de combat expérimenté, mais il faut savoir aussi que ce n’était pas la première fois qu’il se perdait cela pouvait arriver lors d’un vol, ou pendant un combat. Il connaissait de façon certaines la navigation sans instrument à l’aide de son intuition et de son expérience, il connaissait pour l’avoir fait à de nombreuses reprises faire des atterrissages d’urgence en mer, il ne faut pas oublier qu’il était pilote instructeur, cela n’était pas pour rien. Il sera finalement écarté de ses accusations, car aucun élément probant ne permettra de la mettre en cause.

Ce qui est certains, c’est que malgré les recherches après la disparition, mais aussi durant l’enquête et bien après, aucun élément ne serait-ce que des morceaux d’avion, corps ou tout autres choses n’est apparu. Dans ces avions et en ce temps-là, il n’y avait pas de GPS, donc les pilotes devaient impérativement se fier à leurs boussoles au nombre de deux dans ce modèle afin de pallier toute panne, ainsi qu’a une montre qu’ils devaient porter, ainsi selon les indications de la boussole et le temps de vol, ils pouvaient calculer leur trajectoire et le temps nécessaire à faire ce trajet. Sauf que le lieutenant Taylor n’avait étrangement pas sa montre et qu’il n’y en avait pas dans les avions, mais comme dit plus haut, il se fiait beaucoup à son intuition. D’autre part, le lieutenant ne volait pas seul, il était accompagné de 4 autres avions certes plus ou moins expérimenté, mais suffisamment expérimenté pour qu’ils puissent voler seul et faire des largages de bombes, par conséquent étant donné qu’ils étaient en formation, ils auraient dû parallèlement à leur leader s’entraîner à gérer leur propre navigation qui est la base de la formation en vol, avait-il oublié de le faire, ou avait-il oublié leur montre ?

La question que je me pose est simple, d’après ce que j’ai pu lire, l’autonomie de ses avions pour l’exercice été de deux heures, sauf qu’ils ont décollé à 14H10 et que j’ai une deuxième information disant qu’ils pouvaient voler jusqu’à 20H00 soit 5 h et 50 min, je n’ai malheureusement pas pu trouver l’autonomie exacte car celle-ci dépend de la vitesse de vol, ce qui faut savoir en revanche c’est que ce modèle posséder 4 réservoirs qui d’après mes informations étaient plein au décollage.

 

 

Un autre avion aurait disparu le même jour ce 5 décembre 1945, en effet suite aux différents échanges radio, la Navy décide d’envoyer deux hydravions de type PBM 5 modèles Martin Mariner. Ils décollent de la base navale de Bananas River (renommer maintenant base Patrick Air Force). Les codes des avions son training 32 et training 49, training 32 est envoyé plein est vers les Bahamas et training 49 doit suivre les côtes de la Floride avant de prendre un cap Nord-est direction le large. Cependant, à 19 h 50, deux navires informent qu’ils ont aperçu une explosion dans le ciel, les différentes recherches prouveront que l’emplacement de l’explosion était l’emplacement de training 49. Il n’y a potentiellement rien d’étrange, car les Martin Mariner, sont surnommés les citernes volantes, car il est fréquent que des vapeurs d’essence remonte dans le fuselage, ce qui provoquerait facilement une explosion. Une cigarette, une défaillance électrique ou encore la présence potentielle d’un gaz dans l’atmosphère dans cette zone aurait pu être à l’origine de cette disparition, cependant les recherches ne donneront aucun élément nouveau et il ne sera jamais retrouvé.

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By U.S. Navy - U.S. Navy National Museum of Naval Aviation photo No. 2011.003.137.014, Public Domain, Link

Le SS Hewitt, celui-ci va être rapide, je n’ai pas pu trouver d’information en dehors du site Wikipédia, il n’est donc pas possible pour moi de croiser les informations, je ne peux donc pas entrer dans les détails. Il aurait disparu en novembre ou décembre 1920 au sud-est des États-Unis, la date n’étant pas précise cela est déjà problématique pour moi, ce qui fait que je vais arrêter là pour celui-ci.

Le navire Witchcraft, alors oui beaucoup de personne diront qu’avec un nom comme « sorcellerie », la tragédie était certaine, mais revenons sur terre. Il s’agit encore d’une disparition, donc il existe tellement de versions que cela en devient ridicule. Cependant ce qui est pour moi le plus justifié, c’est qu’il s’agissait d’un Yacht qui aurait demandé secours aux garde-côtes suite à une panne moteur. Il aurait signalé leur intention de tirer une fusée de détresse, chose qu’ils ne feront jamais. Cependant une fois arrivé sur les lieux, les garde-côtes ne trouveront qu’un yacht vide, une autre version stipule que le Yacht avait complètement disparu. Il y a donc une multitude de contradictions, comme pour le SS hewit je n’irais pas plus loin dans les recherches, car elle serait infondée.

Voilà, pour ce qui est des disparitions, il en existe énormément, cependant comme précisé ci-dessus, il n’existe pas ou très peu d’information et je ne peux donc pas croiser les informations et cela ne permet pas de réaliser l’article que je souhaite. En effet durant mes longues recherches, j’ai trouvé un bon nombre d’avions qui ont disparu largement en dehors de la zone du triangle, certains qui n’ont jamais existé et d’autre sont tellement peu connue que je me pose la question d’où il sorte ?

J’ai donc procédé à des recherches concernant le triangle lui-même et sur les potentielles explications de ses disparitions et des causes à effet. Alors dans les explications les plus farfelues, nous avons les extraterrestres, qui procéderaient à des enlèvements, mais aussi à la présence d’un portail dimensionnel, ce sont déjà les théories qui sont à oublier.

Par la suite, des scientifiques ont avancé plusieurs théories, la première le fait que la zone aurait une forte activité magnétique, du fait la présence du nord géographique et du nord magnétique. Première chose le nord géographique ne s’est jamais trouvé dans la zone du triangle des Bermudes, mais c’est un point fixe qui est en fait le pôle Nord, donc rien à voir avec le triangle, ensuite vient le nord magnétique qui est la convergence des lignes de champ magnétique qui convergent et qui lui se déplace constamment en raison des mouvements terrestres.

Petite nouveauté pour cet article et pour les prochains selon la nécessité, je ferais dorénavant usage pour les recherches annexe aux articles, mais aussi afin de m’aiguiller dans mes recherches à une IA, ceci juste pour des recherches de fond.

J’ai demandé à l’I.A de vérifier si le nord magnétique a déjà été présent dans la zone du triangle, la réponse est négative, il est donc impossible que les disparitions et perturbation des instruments de bord soit dû à ce phénomène.

Nous pouvons aussi lire, que la présence de poche de méthane serait contenue dans les fonds marins, ce méthane serait emprisonné dans la glace et suite à un changement de température ou de pression de l’eau elle remonterait à la surface, la libération du méthane diminuerait la densité de l’eau pénalisant donc la flottabilité des bateaux, concernant les avions le méthane pourrait endommager les moteurs et diminuerait également la portance de certains avions. Cette hypothèse reste théorique, mais il n’est pas prouvé à ce jour que ce soit faux, même si la quantité d’avions et de bateaux disparut reste important ce qui porterait à croire que la présence des poches de méthane seraient tous aussi importantes. En résumé, le méthane pourrait expliquer certaines disparitions, mais il n’est pas prouvé que le méthane serait présent en grosse quantité sur cette zone, à savoir aussi que le triangle n’est pas la seule zone concernée par la présence de méthane.

Une autre explication pourrait être les vagues scélérates, ce sont des événements qui se produisent sans raison apparente et qui elles sont un type de phénomène similaire à un mur d’eau épais que les bateaux viennent frapper. De nos jours, les vagues scélérates, sont plus prévisibles grâce à notre technologie, la solidité des bateaux s’étant améliorés, il résiste aussi beaucoup mieux à ce phénomène. Néanmoins ceci n’a pas été toujours le cas, la conception des anciens navires et bateaux sont beaucoup plus fragiles cela pourrait expliquer encore une fois quelques disparitions, mais comme pour le méthane, cela n’expliquerait pas toutes les disparitions, en effet les vagues scélérates reste des phénomènes rare et la zone du triangle n’est pas spécialement plus concerné que d’autres zones océaniques.

Évidement tous cela n’est que pure spéculation et l’explication final qui sera retenue par tous les spécialistes du sujet est qu’il est possible que des défaillances matérielles ou des erreurs humaine soient à l’origine des disparitions, il est aussi probable qu’en réalité le taux de disparition ne soit pas plus élevé que dans certaines autres zones, la chose qui change serait potentiellement que l’activité médiatique de la zone. J’ai en effet eu la possibilité de prouver que le passage dans cette zone a toujours été important, il s’agit d’une zone de passage relativement utilisée.

Je résumerais donc qu’il est clair qu’avec l’ensemble des informations que j’ai pu lire et entendre, l’ensemble des disparitions pourrait tous simplement être expliqué par les différents phénomènes vus précédemment. L’erreur humaine est possible dans certains cas bien que les pilotes soient pour la plupart expérimentés, la défaillance matérielle est plausible également le matériel été ancien et il est possible étant fortement sollicité que le matériel a pu subir des défaillances. Je n’ai pas pu trouver de document concernant les réparations et de façon générale l’entretien des appareils donc comment être sûr que ces derniers ont été réalisés correctement ? Après, la météo pourrait aussi être en cause, car en pleine mer, les changements de temps sont fréquents et les tempêtes également. Enfin le méthane et les vagues scélérates ne représente peut-être qu’un faible pourcentage des disparitions, mais cela ne signifie pas pour autant que cela n’existe pas.

Devant tous ces éléments que rien ne vient prouver, mais que rien ne vient réfuter, je pense qu’il est clair que le triangle des Bermudes, n’est en réalité qu’une zone comme une autre, qui est traversée par de très nombreux bateaux et avions, par conséquent et à la vue du nombre de traverser, il est malheureusement normal que des incidents ou accidents soit arrivé. Il est important de noter que les recherches continuent de nos jours avec des technologies plus avancées qu’auparavant. Par exemple, le SS Cotopaxi, un navire qui faisait route vers la Havane avec 32 personnes à son bord, il a été retrouvé et confirmé en janvier 2020. Il est cependant difficile de pouvoir parcourir les fonds marins du fait de la profondeur et des mauvaises conditions. Peut-être qu’un jour d’autres navires ou avions seront retrouvés et qu’il sera possible enfin d’avoir une explication sur ces disparitions.

Petite parenthèse concernant cet article, ce dernier a été très long à réaliser puisque j’ai commencé, il y a environ 6 mois, en revanche les recherches ont été fortement intéressantes, je remercie par ailleurs la personne qui m’a donné l’idée pour cet article qui m’a fait beaucoup pensé à lui durant les longues recherches.

Je vous remercie d’avoir suivi cet article et je vous dis à une prochaine.

Date de dernière mise à jour : 03/11/2024

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